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 Une première série, composée de grands formats, traite de la fragilité de l'existence , sous l'égide de la vanité.

Le fond est souvent sombre, traversée par de splendides fulgurances de couleurs crues.

Les coulures, jets, éclaboussure ou autres sortes de pluies délavantes y dessinent peut-être des plaisirs, la vie dans tous les cas.

 

Mais si il y a visages, il y a aussi ce que l'on en retient.

Comment recomposer plastiquement le souvenir de quelqu'un?

Dans des formats plus petits, alors que les visages sont de face, le flux coloré fonctionne donc comme fonctionne la mémoire, intermittent comme sont les intermittences du coeur.

La lumière éclaire ici autant qu'elle efface.

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Les visages prennent aussi l'aspect de figures d'apparat, nous  sommes dans le pastiche, dans le clin d'oeil aux peintres du passé.

Mais se sont pourtant autant de postures dénoncées comme impostures, autant de masques prêts à être arrachés et surtout un prétexte de questionnement et d'exploration de la peinture.

(Extraits de texte de Xavier Leandri)

Figures envisagées

les décadents

les vaniteux

flash

Jacqueline Desanti a abandonné la toile plane pour fabriquer son propre support,fait de papier et de colle, dont les plis déterminent le sujet à venir. Souvent, les lignes de force naissent de matière brute, un chjami è rispondi entre couleur et matière.

serie 1

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